Samonac

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Samonac
Samonac
Groupe animalier du monument aux morts.
Blason de Samonac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes de Blaye
Maire
Mandat
Marie-Lise Giovannucci
2020-2026
Code postal 33710
Code commune 33500
Démographie
Population
municipale
457 hab. (2021 en augmentation de 4,58 % par rapport à 2015)
Densité 117 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 29″ nord, 0° 34′ 06″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 88 m
Superficie 3,9 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bourg
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de l'Estuaire
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Samonac
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Samonac
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Samonac
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Samonac

Samonac est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans l'unité urbaine de Bourg sur le vignoble des Côtes-de-Bourg.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Mombrier, Saint-Trojan, Saint-Ciers-de-Canesse, Comps, Bayon-sur-Gironde, Saint-Seurin-de-Bourg, Bourg et Lansac.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 892 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gervais à 10,39 km à vol d'oiseau[4], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 824,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Samonac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourg, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[11] et 5 597 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (68,2 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (9,1 %), forêts (7,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Samonac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Samonac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 210 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 210 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1992, 1999, 2009 et 2013, par la sécheresse en 2003, 2005 et 2010 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 2014 Bernard Sou    
mars 2014 En cours Marie-Lise Giovannucci   Employée
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 457 habitants[Note 3], en augmentation de 4,58 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
530423479487507498482509516
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
500490524533535480446464452
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
472489468430434381360341368
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
336350349367388377397436429
2021 - - - - - - - -
457--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Martin[modifier | modifier le code]

Plan de l'église Saint-Martin.

Le chevet de l'église, sous le vocable de saint Martin, est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le [24], et la chaire à prêcher en pierres taillées est classée au titre "objet" le [25].

Bien que le patronage de saint Martin de Tours suggère une paroisse fondée aux temps mérovingiens, l'église ne comporte aucune trace de construction antérieure au XVe siècle. Son plan initial comprenait une nef unique non voûtée précédée d'un clocher-porche de plan barlong et un chœur rectangulaire orienté Est/Sud-est, proportionnellement assez vaste, plus élevé que la nef, et à chevet plat. La travée du clocher et le chœur sont voûtés sur arcs ogivaux; les piliers et les colonnettes supportant les arcs ne comportent aucun chapiteau, formant un mouvement continu de la base à la clef. Le chœur est élégant, la travée du clocher montrant un art moins assuré. Le chevet comporte une large baie à arcs brisés dont le décor gothique flamboyant forme des fenêtres géminées. Un portail du même style donnant primitivement accès à l'église dans le mur sud du clocher a été muré. De puissants contreforts cantonnent le chœur et le clocher.

Une campagne de travaux à la fin du XVIIIe siècle ouvre un portail à arc surbaissé dans le mur ouest du clocher (porte datée 1787), actuellement précédé d'un porche large et rustique ouvrant au sud, et édifie deux étroits bas-côtés séparés de la nef par des arcs en plein cintre formant deux travées (). Une chaire en pierres sculptées de style baroque est édifiée en 1791 à l'angle nord-est de la nef; de forme demi-hexagonale, elle est ornée de guirlandes de feuillage, et dans son panneau central d'un bas-relief représentant le don par Saint Martin de la moitié de son manteau à un pauvre d'Amiens transi de froid; le pauvre ne se voit plus, ayant été bûché en 1794 par le prêtre constitutionnel de la paroisse converti au culte de l'Être suprême. La nef et les bas-côtés sont voûtés en berceau d'août à . L'édifice comprend également un petit baptistère pris entre les contreforts nord du clocher, et une sacristie, probablement construite en même temps que les bas-côtés, prise entre les contreforts nord du chœur. Les vitraux sont contemporains, dont une série de quatre fermant les fenêtres des bas-côté, qui traitent différents thèmes de la vie de saint Martin de Tours, sont datés de 1912. Au cours d'une campagne de rénovation survenue en 1993, un nouveau maître-autel en pierre est installé dans le chœur en conformité avec la liturgie du concile Vatican II, et l'ancien maître autel datant de 1872 est déplacé et rebâti dans le collatéral nord. Ce nouvel autel est consacré par le cardinal Pierre Eyt le .

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L'église présente extérieurement un aspect austère, ayant pour seules décorations la baie flamboyante du chevet et une moulure courant sur le soubassement des constructions des XVe et XVIe siècles. Cette baie et le portail d'entrée mis à part, toutes les ouvertures sont arquées en plein cintre. Ses dimensions intérieures sont de 22,50 mètres du portail ouest au mur du chevet, dont 8 mètres pour le chœur, sur une largeur de 5,75 mètres pour les travées du chœur, de la nef et du clocher. Les dimensions de la nef sont de 10 mètres d'est en ouest, et de 12 mètres du nord au sud avec ses bas-côtés.

Ancienne croix de cimetière[modifier | modifier le code]

Visitant l'église de Samonac le , Léo Drouyn décrit et dessine la croix du cimetière. Le cimetière a été déplacé en 1880, et la croix, encore debout la même année[26], a aussi disparu. Ce petit monument du XVIe siècle avait un riche décor de 12 niches, disposées sur un fût carré comprenant trois étages, et contenant des statues de saints, bien détériorées quand Drouyn les décrit. Le fût, cassé aux trois quarts, était terminé par une croix moderne. Il reposait sur un socle carré supporté par trois marches[27]. Le dessin réalisé par Léo Drouyn (mais non pas son eau-forte) représente en arrière-plan une partie de l'église, indiquant ainsi que cette croix était sensiblement au même endroit que le monument aux morts de la commune.

Monument aux morts[modifier | modifier le code]

Monument aux morts, le 14 juillet 2011.

Faisant face à l'entrée du porche de l'église, le monument pour les morts de la Première Guerre mondiale est érigé en 1920. Deux marches supportent le socle, de plan rectangulaire, formé de deux étages parallélépipédiques reliés par une doucine renversée et d'une pyramide tronquée. Un bloc en forte saillie forme la corniche de la pyramide tronquée et sert de base au groupe statuaire qui couronne le tout. Le socle porte sur sa face avant l'inscription « Aux enfants de Samonac morts pour la France 1914-1919 », et sur ses faces latérales 21 noms de jeunes hommes; la face arrière porte en inscription 1939-1940 et deux noms. La base avant du socle est également inscrite d'une dédicace « Aux morts en Algérie Maroc Tunisie 1952-1962 », conflits pour lesquels la commune n'a déploré aucun mort. Le monument est surmonté d'un groupe animalier, allégorie de la victoire sur l'Empire allemand, représentant un coq terrassant un aigle; un obus fiché dans le sol en avant des deux oiseaux, et, derrière eux, un casque à pointe renversé sur le sol et un tronc de chêne mutilé reverdissant viennent appuyer l'allégorie[Note 4]. L'œuvre est signée E.Raoul, sculpteur oublié.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Samonac Blason
Tiercé en pairle renversé : au 1er d'or à un cep de vigne de tenné, fruité de pourpre, feuillé de sinople et tuteuré de sable, au 2e de gueules à un léopard d'or armé et lampassé d'azur, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent et à une coquille d'or brochante[28].
Détails
Le cep de vigne est pour l'activité viticole de la commune, le léopard est repris des armes de Guyenne, les ondes sont pour la fontaine miraculeuse de saint Justin et enfin la coquille est pour les nombreux pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passaient par le village.

Adopté en .

Galerie de photos[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. S'il est nécessaire d'expliquer l'allégorie, un emblème non officiel de la France est le coq gaulois, possiblement par l'effet d'un jeu de mots antique - gallus en latin signifiant gaulois et coq -, et l'aigle figure dans les armes de l'Empire allemand, comme dans celles de l'Allemagne contemporaine.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Samonac et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Gervais » (commune de Saint-Gervais) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bourg », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Samonac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Notice no PA00083830, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  25. Notice no PM33000781, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  26. Journal de la paroisse de Samonac, op. cit., Samonac_BP_1840-1912_0060
  27. Michelle Gaborit, notice Samonac - Croix de cimetière, in Léo Drouyn et la Haute Gironde, Albums de dessin n° 12, Éditions de l'Entre-deux-Mers, 2005, (ISBN 2-913568-33-5), p. 158
  28. « 33500 Samonac (Gironde) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pour l'église: Curés de Samonac, Journal de la paroisse Saint Martin, 1840-1899, archives numérisées de la commune de Samonac (SAMONAC_BP_1840-1912). Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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