Hans Gollnick

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Hans Gollnick
Naissance
Gut Gursen
Décès (à 77 ans)
Schönau am Königssee
Origine Allemand
Allégeance  Empire allemand
 République de Weimar
 Troisième Reich
Arme Deutsches Reichsheer
Reichswehr
Wehrmacht, Heer
Grade General der Infanterie
Années de service 1912 – 1945
Commandement 6. Infanterie-Division
36. Panzer Grenadier Division
Armee-Abteilung Samland
Conflits Première Guerre mondiale,
Seconde Guerre mondiale
Distinctions Croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chêne

Hans Gollnick ( à Gut Gursen - à Schönau am Königssee) est un General der Infanterie allemand qui a servi au sein de la Heer dans la Wehrmacht pendant la Seconde Guerre mondiale.

Il a été récipiendaire de la croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chêne. La croix de chevalier de la croix de fer et son grade supérieur, les feuilles de chêne, sont attribuées pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès.

Biographie[modifier | modifier le code]

Gollnick est né à Gut Gursen dans la province de Poméranie, fils de Paul Gollnick seigneur du manoir de Gursen, et Elisabeth Peglow descendant de la maison ducale de Poméranie.

Gollnick étudie au lycée de Marienwerder (de) et passe l'examen du baccalauréat à la Saint-Michel en 1911[1]. Le 22 mars 1912, il s'engage comme porte-drapeau dans le 129e régiment d'infanterie (de) à Graudenz, et sert pendant la Première Guerre mondiale en tant que Leutnant (lieutenant). Au début de la Seconde Guerre mondiale, Hans Gollnick est commandant du 76e Régiment d'infanterie dans la bataille de Krojanty. Pendant la guerre, il reçoit la croix de chevalier de la croix de fer en 1942, et promu général le . En , il s'échappe au Danemark. Il devient prisonnier de guerre britannique de pour un mois, jusqu'au .

Gollnick est mort à Schönau am Königssee le .

Décorations[modifier | modifier le code]

Hans Gollnick est recommandé pour les glaives de sa croix de chevalier pour ses efforts défensives en Prusse-Orientale en . Toutefois, la requête n'a pas abouti avant la fin de la guerre[2].

Références[modifier | modifier le code]

Citations
  1. Hans Dühring (de) : Das Gymnasium Marienwerder. Von der Domschule zur Oberschule. Ostdeutsche Beiträge aus dem Groupe de travail de Göttingen, Bd. XXX, Hölzner Verlag, Würzburg 1964, S. 175.
  2. Berger 1999, p. 392.
Source

Bibliographie
  • (de) Prerdovich (1978). Generalität des deutschen Heeres.
  • (de) Fellgiebel, Walther-Peer (2000). Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945. Friedburg, Allemagne: Podzun-Pallas. (ISBN 3-7909-0284-5).
  • (de) Scherzer, Veit (2007). Ritterkreuzträger 1939–1945 Die Inhaber des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939 von Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine, Waffen-SS, Volkssturm sowie mit Deutschland verbündeter Streitkräfte nach den Unterlagen des Bundesarchives. Jena, Allemagne: Scherzers Miltaer-Verlag. (ISBN 978-3-938845-17-2).
Liens externes