Gustav Seitz

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Gustav Seitz
Statue de Käthe Kollwitz par Gustav Seitz.
Naissance
Décès
Sépulture
Friedhof Blankenese (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Activités
Formation
Conjoint
Luise Seitz (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Distinctions
Vue de la sépulture.

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Gustav Seitz, né le à Mannheim et mort le à Hambourg, est un sculpteur et dessinateur allemand.

Formation[modifier | modifier le code]

Gustav Seitz, né à Neckarau, quartier de Mannheim, est le quatrième enfant d'un maître-plâtrier[1].

De 1922 à 1924, il suit une formation de tailleur de pierre et de sculpteur à Ludwigshafen.

Il s'inscrit également à des cours de dessin et de sculpture à l'école professionnelle de Mannheim. Il étudie ensuite de 1924 à 1925 à l'école nationale d'art de Karlsruhe.

De 1925 à 1932, il étudie à la Staatlichen Hochschule für Musik und darstellende Kunst. Lors d'un voyage en Italie, il est profondément impressionné par la sculpture étrusque. À Paris, il rend visite à Charles Despiau. De 1933 à 1938, il est l'élève d'Hugo Lederer à l'Académie prussienne des arts à Berlin[1].

Il est soldat de 1940 à 1945 durant la Seconde Guerre mondiale.

Ayant emménagé dans la partie orientale de Berlin en 1950, il devint professeur à l'Université technique. Il est décoré du Prix national de la République démocratique allemande. Il travaille à l'Académie des arts de la RDA jusqu'en 1958.

À partir de 1958, il vit à Hambourg et succède à Edwin Scharff (1887-1955) à la Hochschule für bildende Künste Hamburg.

Il expose lors de la Documenta II en 1959 et de la Documenta III en 1964 à Cassel.

Il participe à la Biennale de Venise en 1968.

Gustav Seitz était membre de l'association d'artistes contemporains Der Kreis (Le Cercle).

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Gabriele Baumgartner, Dieter Hebig (de), Biographisches Handbuch der SBZ/DDR. 1945–1990
  • Fritz Nemitz: Junge Bildhauer. Rembrandt-Verlag, Berlin 1939.
  • Eberhard Ruhmer: Gustav Seitz. In Bildende Kunst, Berlin, 3. Jahrgang 1949/ Heft 3, S. 104
  • Emil Endres: Gustav Seitz. In Bildende Kunst, Berlin, 3. Jahrgang 1949/ Heft 9, S. 285
  • Heiner Hachmeister: Gustav Seitz – Catcher und Idole. Hachmeister, Münster 1990, (ISBN 3-88829-080-5).
  • Jens Kräubig: Untersuchungen zur Entwicklung der plastischen Form bei Gustav Seitz. Lang, Frankfurt am Main u. a. 1986, (ISBN 3-8204-8397-7).
  • Claus Pese: Mehr als nur Kunst. Das Archiv für Bildende Kunst im Germanischen Nationalmuseum. Kulturgeschichtliche Spaziergänge im Germanischen Nationalmuseum. Band 2, Ostfildern-Ruit 1998, S. 108–111.
  • Gustav Seitz Stiftung, Hamburg: Von Liebe und Schmerz. Plastik und Zeichnungen. Dräger + Wullenweber, Lübeck 2006, (ISBN 3-9801506-9-0).
  • Joist Grolle (de): Gustav Seitz. Ein Bildhauer zwischen Ost und West. Herausgegeben von der Gustav Seitz Stiftung. Ellert & Richter Verlag, Hamburg 2010, (ISBN 978-3-8319-0401-3).
  • Lob der Torheit. Der Bildhauer Gustav Seitz. hrsg. von Thomas Sello. Verlag St. Gertrude, Hamburg 2015
  • Roland Heinzmann: Gustav Seitz zum 110. Geburtstag. – In: Kurpfälzer Winzerfest-Anzeiger 2016, S. 44–45; Rot-St. Leon 2016 (Nussbaum Medien).
  • Roland Heinzmann: Gustav Seitz zum 50. Todestag – Frankreich-Reise 1952: Tagebuch I Briefe I Zeichnungen. – In: Kurpfälzer Winzerfest. Das Magazin zum Fest 2019, S. 78–83; Rot-St. Leon 2019 (Nussbaum Medien).
  • Roland Heinzmann: Aus dem Depot geholt – Zum 50sten Todestag von Gustav Seitz. – In. kunstraumMETROPOL 4/2019: 12 – 13; Freiburg i.Br. (art-media-edition-Verlag).

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. ↑ a et b (de) « Tabellarische Biographie », sur gustav-seitz-museum.de (consulté le ).

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