Chronologie des alternatives (1961 à 1980)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

On trouvera ci-après la chronologie des alternatives, entre 1961 et 1980, des matadors ayant laissé quelque trace dans l’histoire de la corrida, avec, dans la mesure du possible, les noms du parrain et du témoin de la cérémonie ainsi que celui de la ganadería (élevage)[1].

1961[modifier | modifier le code]

1962[modifier | modifier le code]

  • 9 septembre : Carlos Chaves (Mexicain). Haro (Logroño). Parrain, Joaquín Bernadó ; témoin, Pepe Osuna ; taureaux de la ganadería de Alberto Gonzalez Carrasco.

1963[modifier | modifier le code]

1964[modifier | modifier le code]

  • 11 octobre : Manolo Cascales (Espagnol). Murcie (Espagne). Parrain, « El Tino » ; témoin, Andrés Hernando ; taureaux de la ganadería de Arauz de Robles. Il avait pris une première alternative le , déjà à Murcie.

1965[modifier | modifier le code]

1966[modifier | modifier le code]

1967[modifier | modifier le code]

  • 30 juin : Ángel Teruel (Espagnol). Burgos (Espagne). Parrain, « El Viti » ; témoin, Pedrín Benjumea ; taureaux de diverses ganaderías celui de la cérémonie étant de celle de Agustina Sánchez Flores.

1968[modifier | modifier le code]

  • 4 février : Leonardo Manzano (Mexicain). Mexico, plaza « México ». Parrain, Manuel « Armillita » ; témoin, Ricardo de Castro ; taureaux de la ganadería de Tequisquiapan.
  • 7 juillet : Fabián Ruiz (Mexicain). (Mexique, ville inconnue). Alternative non valide en Espagne ; il en prendra une valide le à Mexico, « plaza Monumental ».
  • 20 octobre : Hernán Alonso (Colombien). Palma de Majorque (Îles Baléares). Parrain, Gabriel de la Casa ; témoin, « Juan José » ; trois taureaux de la ganadería de Atanasio Fernández, deux de celle de Francisco et Eusebia Galache et un de celle de Matías Bernardos, celui de la cérémonie étant de Francisco et Eusebia Galache.

1969[modifier | modifier le code]

  • 2 février : Fabián Ruiz (Mexicain). Mexico, « plaza Monumental ». Parrain, Dámaso Gómez ; témoin, Mauro Liceaga ; taureaux de la ganadería de La Laguna. Il avait pris auparavant une alternative, non valide en Espagne, le au Mexique.

1970[modifier | modifier le code]

1971[modifier | modifier le code]

  • 21 février : Alfonso Loredo (Mexicain). Mexico, « plaza Monumental ». Parrain, Leonardo Manzano ; témoin, Mario Sevilla ; taureaux de la ganadería de Gustavo Álvarez.
  • 7 mars : Miguel Villanueva (Mexicain). Mexico. Parrain, « Calesero » ; témoin, Ricardo Castro ; taureaux de la ganadería de Rancho Seco.
  • 1er août : Manolo Ortiz (Espagnol). Malaga (Espagne). Parrain, José Luis Román ; témoin, « El Gasolina » ; taureaux des ganaderías de Pérez Valderrama et de Osborne.
  • 13 septembre : Marcos Mendez (Vénézuélien). Ibiza (Îles Baléares). Parrain, « El Calatraveño » ; témoin, Manuel Álcazar ; taureaux de la ganadería de José Tomás Frías.

1972[modifier | modifier le code]

  • 11 mai : Antonio Porras (Espagnol). Madrid. Parrain, Andrés Hurtado ; témoin, « Marcelino » ; taureaux de la ganadería de Sánchez Fabrés.

1973[modifier | modifier le code]

  • 3 juin : Javier Sarasa (Espagnol). Pampelune (Espagne, Navarre). Parrain, Paco Ceballos ; témoin, Bartolomé Sánchez Simón ; cinq taureaux de la ganadería de Lucio Muriel et un (celui de la cérémonie) de celle de César Moreno.

1974[modifier | modifier le code]

  • 24 février : Jorge Blando (Mexicain). Mexico, plaza Monumental. Parrain, Miguel Villanueva ; témoin, Raúl Ponce de León ; taureaux de la ganadería de La Laguna.

1975[modifier | modifier le code]

1976[modifier | modifier le code]

1977[modifier | modifier le code]

1978[modifier | modifier le code]

  • 11 février : Jorge Gutiérrez (Mexicain). Mexico, plaza « México ». Parrain, Manolo Martínez ; témoin, Curro Rivera ; taureaux de la ganadería de Javier Garfias.

1979[modifier | modifier le code]

1980[modifier | modifier le code]

Sources[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Aucune liste exhaustive ne semble possible : nombre de matadors ont pris l’alternative, sans que leur notoriété ait jamais dépassé les frontières de leur province, voire celles de leur village, et n’ont pas laissé la moindre trace dans l’histoire.